--- In
cybalist@yahoogroups.com, "alex" <alxmoeller@...> wrote:
> Daniel J. Milton wrote:
> > I don't know "dunc", and can't find it in the online L&S Latin
> > dictionary, nor in my smaller Cassell's. Nunc, tunc, but not
dunc.
> > Alex, what's your source?
> > Dan Milton
>
> Lateinisches Etymologisches Wörterbuch , A. Walde & J.B Hofmann,
> Heidelberg 1982
>
> dum= noch, als Konj. "während; bis". etc...
>
> du:mus, -i m. "Gestrüpp", dicht verwachsener. usw.....
>
> dunc= dum "während, als" (Inschr. der Kaiserzeit, Zimmermann
ALL. 5,
> 571) ist nicht sinkopiert aus _do:nec_ (Solmsen KZ. 34, 9.1, Skutsch
Kl.
> Schr. 239.2, Brugmann I.2 143) oder aus _*dum-que_ (Skutsch Forsch.
I
> 152.1, Stolz HG. I 338), sondern junge Neubildung nach dem Muster
von
> _tum : tunc_, vgl. die Schreibung _tunc_ CE. 1582, 13(Schmalz.5
746). --
> Da belegtes _dunc_ stets hypotaktisch ="während" ist, die von
> Meyer-Lübke n. 2795, Wartburg III 179 darauf
zurückgeführten rom.
Formen
> (frz. _donc_ , ital. _dunque_ usw.) jedoch "dann, also" bedeuten, so
ist
> die Verknüpfung nur haltbar bei Annahme spätere
Bed.-Vermischung mit
> _tunc_ , wofür die vereinzelte inschr. Schreibung _dunc = tunc_
kaum
> einen genügenden Anhalt bietet; da andererseits _do:nec =
denique,
dann,
> endlich_ im Spätlatein belegt ist (Schmalz.5 755), ist vl. die
alte
> Herleitung aus _donique_ (Gröber ALL.2 103 ff., Persson IF. 2,
222)
> vorzuziehen.
>
>
> Alex
********
Thank you. I'm not quite clear -- is your dictionary saying
that "dunc" as a Latin word is attested in an isolated inscription?
The earliest (X, XI cent.) French form of "donc" is "dunc", but
it seems by no means clear that it derives from an identical Latin
word.
Littre's Dictionary has:
"Provenç. donc, dunc, doncas, alors, donc ; catal. doncs ; anc.
espagn. doncas ; anc. ital. dunqua ; ital. mod. dunque ; pays de Come,
donch ; vénitien, donca. Ce mot présente des difficultés. On
trouve dans de très anciens textes ad tunc pour alors ; Diez en
tire adonc, ce qui en effet explique la substitution, dans toutes les
langues romanes, du d au t de tunc ; et il regarde adonc comme la
forme primitive, et donc comme une abréviation par aphérèse
de la première voyelle. Cela est très satisfaisant pour le
sens, donc
a yant eu évidemment la signification d'alors, et le passage
d'alors à
donc se comprenant sans peine. Mais, sans parler du retranchement de
l'a initial dans le français, qui en offre si peu d'exemples
avérés, les formes en as, doncas, en a, dunqua, en e, dunque,
ne se prêtent pas à la dérivation de tunc, tandis qu'elles se
prêtent à la dérivation de unquam, ce mot ayant donné
unca, unqua,
oncas, onke ; de sorte que, quant à la forme, donc serait
de-unquam ;
mais alors c'est le sens qui fait difficulté. Ces deux alternatives
étant posées, on peut penser pourtant que cet adverbe composé
de-unquam a pris la signification d'alors et les significations
subséquentes, comme l'adverbe composé de-usque a pris le sens
de jusque."
Dan