Re: [tied] Giebul/tów, another 'princely grave'

From: tgpedersen
Message: 65017
Date: 2009-09-14

--- In cybalist@yahoogroups.com, george knysh <gknysh@...> wrote:
>
> --- On Fri, 9/11/09, tgpedersen <tgpedersen@...> wrote:
>
> (plaintively)
>
> --- In cybalist@... s.com, george knysh <gknysh@> wrote:
> >
> > --- On Fri, 9/11/09, tgpedersen <tgpedersen@ ...> wrote:
> >
> > http://jam.nyirbone.hu/rendez/barbar/resume/Dobrzans.html
> >
> > GK: They've been writing about this one since the 1940's.
>
> Sez George plaintively.
>
> ****GK: matteroffactly actually. It's old news and not particularly significant except to Sarmatizing and Odinizing ideologists.****
>
> > To no avail, as Dobrzanska plaintively acknowledges. The
> > conference you refer to was in 1999. There was apparently no
> > follow up. And the "Antes" were not Sarmatians (:=))). But looks
> > as though Polish Sarmatizers are still around, like Danish
> > Odinists (:=)))
>
> In lieu of argument.
>
> ****GK: Was there something to argue about? ****
>
> Since you want to take it there, what do you want me to call you?
>
> ****GK: My response would be the same as Rhett Butler's concluding
> word to Scarlett O'Hara (no other analogies intended).*****

Since we agree in principle that Sarmatians were present in the flesh in the west, in particular in the Mus^ov princely grave, traditionally called Germanic, which you assign to a relative of the Sarmatian kings Pharzoios and Inismeios on the basis of the tamgas in the grave, which occur also in the similar grave in C^atalka which along with Vize is traditionally called Thracian, and thus also must contain a Sarmatian, but disagree only on the estimate of their relative share in the emerging upper class of the Przeworsk culture, which became the upper class of the Germanic-speaking countries, and since it doesn't matter much to you anyhow, I think I'll call you a Sarmatist and an Odinist. From now on all we'll have to argue about is percentages.

Cf. besides, but about a later time
from
Vladimir Kuznecov
A propos des Alains et des Sarmates
en Europe Occidentale à l'Époque des Grandes Migrations
in
Michel Kazanski & Vanessa Soupault
Les Sites archéologiques en Crimée et au Caucase
durant l'Antiquité tardive et le haut Moyen-Age

'Le problème de l'identification ethnique des antiquités de l'époque des Grandes Migrations est parmi les plus compliqués, malgré le nombre important de publications consacrées à cette période (voir en dernier lieu Fodor 1982; Bona 1991; Germanen 1987; Attila 1990; Garam, Kiss 1992). Les migrations fréquentes des peuples nomades et sédentaires, leurs contacts avec la population indigène, l'unification de leur civilisation matérielle ont rendu la tache presque impossible, ce que J. Werner remarqait encore en 1956 (Werncr 1956, 1). En effet, les chercheurs ont démontré à propos du matériel archéologique gothique que les groupes migrants perdent en grande partie leur civilisation matérielle en cours de route (Hachmann 1970; Schukin 1977). Ainsi les rares indices qu'on peut considérer comme ethniques sont d'autant plus précieux dans la recherche des traces des Alains et des Sarmates, qui ont parcouru l'Occident européen au IVe-Ve siècles. Nous nous proposons dans cette étude de présenter les découvertes occidentales qui peuvent être attribuées d'une façon incontestable aux Alains et aux Sarmates. D'autre part nous essayerons d'établir leur zone d'origine eu Europe orientale. Il faut souligner que le nom d'Alains couvre à partir du 1er siècle ap. J.C. les différents groupes de la population iranienne des steppes politiques (Kuznecov 1984, 5,6).

La présence alaine et sarmate en Pannonie, en Gaule, puis en Espagne et en Afrique est bien attestée à l'époque des Grandes Migrations par des sources écrites (voir en détails Bachrach 1973) et par la toponymie (en dernier lieu Kovalevskaia 1993). Les historiens constatent un certain apport alain dans la formation de la civilisation médiévale de l'Occident, notamment dans l'art militaire (Bachrach 1973; Kardini 1987, 55). Or, la recherche des traces archéologiques des Alains et des Sarmates en Occident s'avère décevante (Kazanski 1995). Les tentatives d'identification des antiquités alano-sarmates en Occident (Beninger 1931; Kuznecov, Pudovin 1961; Kiss 1995) n'ont pas donné jusqu'à aujourd'hui de résultais incontestables. Certes, les antiquités d'origine politique et danubienne sont bien attestées en Europe occidentale (par ex. Attila 1990; Kazanski 1990, 1991 et 1996). Mais ces objets, ainsi que la coutume de la déformation crânienne artificielle (Werner 1956, 5-18, 90,91 et récemment Buchet 1988), coutume sans moindre doute d'origine orientale, ne peuvent pas être attribués exclusivement aux Alains ou aux Sarmates (Kazanski 1995). Bien entendu, les uns et les autres ont été présents parmi les porteurs de ces objets ou de ces coutumes, mais les autres ethnies, par exemple les Huns ou les Goths pouvaient, elles aussi participer à la diffusion de l'influence "orientale" en Occident.'

BTW, on another topic, later:
'Un autre groupe alain venu en Occident était sans doute d'origine caucasienne, comme le temoignerat Eusèbe qui parle de "loups du Nord", ennemis de l'Empire (les Huns et les Alains?), venus des roches du Caucase (Eusebius Hieronimus, Epislola LX ad Heliodorum).'

Ie. both people of As and of Van ethnicity.


Torsten